Jendouba
En 2021, l'Hum'am a décidé de se pencher sur le gouvernorat le plus pauvre de la Tunisie: Jendouba.
Nos trois projets sont expliqués en détail un peu plus bas sur ce site. L'un d'eux se situera à Fernana, où le taux de pauvreté est de 36,90 pour cent contre 15,20 pour le pays.
(Source : Rapport 2020 de la Banque Mondiale et de Developpement Economique).
Le nom de notre projet, Jendoub'Arts, vient de l'association du nom de notre école, et la région à laquelle nous nous intéressons.
A voir juste en dessous, la vidéo de notre premier repérage, sur place !
Ourong
Pour l’année 2020, notre projet consistera à intervenir au Sénégal. En effet, lors de nos réunions, le Sénégal s’est démarqué par les besoins de sa population mais également la connaissance de la population locale, qui facilitera le bon déroulement du projet. Une mission de repérage du village a été menée au mois d’Août 2019. L’objectif était d’identifier les besoins du ou des villages proposés afin de trouver un projet atteignable qui aura pour objectif d’améliorer les conditions de vie d’une population donnée.
AtaKora
Le projet réfléchi et élaboré par l'HUM’AM et les associations partenaires locales, avait pour objectif d'améliorer l'irrigation des terres agricoles dans la région de l'Atakora. Ces terres agricoles produisant diverses récoltes (maïs, tomates, etc.), avaient un besoin en eau conséquent et quotidien.
Kendeck
Kendeck est un village isolé qui ne possède aucune infrastructure, ni de routes goudronnées, ni de Lampadaires. Pour ce projet, l’HUMAM s’est penché sur la réhabilitation des trois puits existants du village, assurant trois sources d’eau potable à la population. Le projet a pour but d’améliorer les conditions d’approvisionnement d’eau potable à Kendeck, un petit village de 1000 habitants, situé à quelques kilomètres de Douala.
Andalamengoke
Le projet Madacasc’Arts était similaire à celui mené au Bénin mais à plus grande échelle. Ce projet avait pour objectif d’améliorer l’accès, la qualité de l’eau du village mais également de faciliter la vie des femmes et des enfants malgaches responsables de la « corvée d’eau ». Le temps gagné leur permettrait entre autres d’accorder plus de temps à l’éducation.